Trois ans après la sortie de son album « Ma vie », la vedette de la chanson togolaise Christelle Johnson revient sur la scène musicale avec un nouveau single baptisé « ma copine ». La vidéo a été officiellement lancée le 14 février dernier. A l’entame de ce mois de mars, dédié à la femme, tootogo.tv vous invite à découvrir ce nouvel opus qui retrace les réalités féminines dans notre société.
Nul doute que les multiples charges de la jeune artiste, notamment ses fonctions de gestionnaire et son engagement dans l’humanitaire freinent le rythme de sa carrière musicale mais cette jeune artiste qui veut devenir une grande vedette de la musique togolaise ne ménage aucun effort pour tenir la chandelle de sa passion. Après un long silence, Christelle Johnson offre à ses fans « ma copine » enregistré par le studio Dream Records.
« Ma copine relate l’histoire vraie d’une voisine qui profite de l’affinité qui existe entre elle et le couple voisin pour arracher le mari. Elle va finalement devenir la co-épouse de son amie et voisine », raconte la jeune artiste. Une histoire chantée sur un rythme afrobeat pour le grand bonheur de ses fans.
Christelle JOHNSON a été révélée au public en 2009 avec « nonye », un titre chanté en featuring avec Rock, ex membre du groupe « Shaelliro ».
Une chanson qui, avec 11 autres qui l’ont suivi (« le cri de l’enfant », « mister player », « femme africaine », etc…) seront la matière de son album « ma vie », sorti en 2012.
Originaire de la préfecture des Lacs au sud Togo, Christelle Johnson perpétue le talent de sa mère qui était également artiste. La jeune artiste est aujourd’hui partagée entre deux cultures. Elle vit notamment entre l’Hexagone et son pays natal le Togo qu’elle avait quitté depuis l’âge de six ans pour poursuivre ses études aux côtés de ses parents en France.
Outre sa musique Christelle Johnson se consacre corps et âme à son association « Coup de Pousse-Chaîne De l’Espoir Nord Sud » créée en 2009. Il s’agit pour l’artiste, à travers cette association de venir en aide aux enfants en situation de toutes sortes de précarité et aussi à inciter les plus jeunes à porter de l’intérêt à la culture africaine.